
Citation de la semaine


Walt Disney a endoctriné des générations entières en leur procurant des émotions si profondes qu’il est devenu, pour beaucoup, un véritable membre de la famille. Son nom évoque la nostalgie, la douceur, l’enfance… au point où toute critique envers lui est perçue comme une attaque personnelle. Pourtant, derrière la magie et les sourires, se cache une mécanique bien plus sombre : des récits soigneusement construits pour conditionner, culpabiliser et modeler les esprits dès le plus jeune âge. Voici quelques faits sur les messages cachés dans les films Disney et comment les traumatismes qu’ils contiennent servent l’endoctrinement et la soumission.
Pinocchio
Thème principal : obéissance et endoctrinement.
Derrière l’apparence d’une fable morale, on enseigne à l’enfant que désobéir au système éducatif (ne pas aller à l’école) entraîne une punition brutale : être enlevé et transformé en âne. Pinocchio apprend que pour être aimé et reconnu, il doit se soumettre à l’autorité et aux règles imposées. Même son père, Gepetto, subit la pression : s’il ne pousse pas son fils à entrer dans le moule, il perd tout. Le message est clair: l’éducation devient un instrument d’obéissance, non d’éveil.

Le Roi Lion
Thème principal : culpabilité et SECRET imposé.
Simba, encore enfant, croit être responsable de la mort de son père. L’oncle Scar, figure d’abuseur, lui murmure : « Ce sera notre petit secret. » Ce message subconscient banalise la honte, la culpabilité et le silence. L’enfant spectateur assimile qu’en cas d’abus ou de faute perçue, il vaut mieux fuir et se taire plutôt que chercher de l’aide. C’est une leçon de soumission émotionnelle, travestie en fable de courage.
La Petite Sirène
Thème principal : rejet du corps et dysmorphisme identitaire (TRANS).
Ariel n’aime pas ce qu’elle est. Elle veut fuir son monde, son père, et son identité biologique pour devenir un humain, symbole de perfection artificielle. Derrière la romance se cache une normalisation du rejet de soi, où la transformation devient la condition pour être aimée. Un message profondément destructeur pour l’image corporelle et la notion d’acceptation de soi.
Histoire de jouets (Toy Story)
Thème principal : déshumanisation et attachement au matériel.
Le spectateur est conditionné à ressentir de l’empathie pour des objets plutôt que pour des humains. Les jouets deviennent les véritables êtres sensibles, trahissant la hiérarchie naturelle entre vie et matière. En créant de la peine pour des objets abandonnés, on désensibilise graduellement l’enfant à la perte des liens humains et on l’entraîne à voir la consommation comme une source d’émotion et d’identité.

Cendrillon
Thème principal : soumission et attente du sauveur.
Le conte enseigne que la souffrance doit être vécue en silence. Cendrillon endure la maltraitance sans jamais se rebeller. Elle est récompensée non pas pour sa force, mais pour sa docilité. Le salut vient du prince, figure d’autorité et de richesse. C’est une glorification du pouvoir externe et de la passivité féminine : la vertu, c’est l’obéissance.
Dumbo
Thème principal : humiliation publique et exploitation du handicap.
Dumbo est moqué, exposé, tourné en ridicule. Son “don” devient un produit de cirque. Le message est ambivalent : on compatit à sa douleur, mais on rit d’abord de lui. Cette dissonance enseigne que la souffrance peut être divertissante, que la différence doit être spectaculaire pour être acceptée. C’est la logique du monde du spectacle appliquée à la douleur.
La Belle au bois dormant
Thème principal : passivité et absence de consentement (ABUS).
La princesse dort — symbole de l’esprit endormi, inconscient. Le “baiser du réveil” est donné sans consentement, mais présenté comme un acte d’amour. L’idée que la passivité féminine et la transgression masculine sont romantiques renforce un archétype dangereux : le prince sauve, la femme subit.
Aladdin
Thème principal : mensonge et illusion du pouvoir.
Aladdin devient aimé et respecté seulement lorsqu’il ment sur qui il est. Le génie, pourtant tout-puissant, est esclave de la lampe, symbole d’une force vitale contrôlée par le pouvoir matériel. Ce film célèbre l’idée qu’on doit tricher et se déguiser pour réussir, et que la liberté ne peut exister qu’à travers la servitude.
La Belle et la Bête
Thème principal : romantisation de la captivité et du syndrome de Stockholm.
Belle tombe amoureuse de son bourreau, enfermé dans un château, violent mais « blessé ». Le récit enseigne que la bonté féminine peut réparer la violence masculine, normalisant des schémas d’attachement toxiques. Derrière l’histoire d’amour, c’est la soumission affective, après un enlevement, qui est valorisée.
Le Monde de Nemo
Thème principal : peur, traumatisme et contrôle parental.
Le film débute par un meurtre brutal, la mère dévorée sous les yeux du père. Ce choc émotionnel place l’enfant dans un monde de peur et d’insécurité, où le contrôle devient le seul moyen de survie. L’amour paternel se transforme en surprotection, un parallèle avec les sociétés modernes de surveillance justifiées « pour notre sécurité ».
La Reine des neiges (Frozen)
Thème principal : répression de soi et isolement.
Elsa naît différente, dotée d’un pouvoir qu’on lui ordonne de cacher. On lui enseigne à refouler sa vraie nature, à se couper des autres pour ne pas déranger. Ce message, présenté comme un conte de liberté, devient un manifeste de contrôle émotionnel : il faut être “sage”, “prévisible” et “socialement acceptable” pour mériter l’amour.
Etcetera…
Sous leurs apparences magiques et inoffensives, les films de Disney forment une mythologie moderne du conditionnement. Chaque histoire introduit un traumatisme; abandon, humiliation, culpabilité, peur, isolement, pour créer une empreinte émotionnelle durable chez l’enfant. Cette empreinte est ensuite utilisée pour inculquer des valeurs de soumission, de conformité et de dépendance émotionnelle envers le système, les figures d’autorité ou les biens matériels.
Là où on croit voir de la magie, on trouve surtout une programmation symbolique subtile : celle d’un monde où la liberté n’existe qu’à condition d’obéir, de se transformer ou de souffrir en silence.
Et, que dire des images à consonnance sexuelle dans tous les dessins animés


Non, ce n’est pas moi qui ai l’esprit mal tourné. Vous avez déjà vu des montagnes qui ressemblent à une paire de seins comme sur l’image plus haut ?

Et non, la forme de l’ombre n’a rien à voir avec la blouse de Peter Pan. Ne me dites pas que c’est une erreur, si ça se représente à chaque dessin animé. A tel point que Disney a du retravailler certaines images après plusieurs dépôts de plainte, notamment pour cette image dans Bernard et Bianca. Que fait une femme aux seins nus à cet endroit ?
Ah oui, il faut aller vite pour le voir, c’est vrai, mais c’est le but aussi. Montrer mais sans que ça soit trop visible, pour éviter les ennuis.

Et tous ces signes avec les mains ? Vous voyez souvent des personnes qui tiennent leurs doigts de cette manière, vous ?

Walt Disney n’était pas un simple artiste rêveur. Il était un initié. Lié aux plus hautes sphères de la franc-maçonnerie et des projets de contrôle mental américains (notamment les ramifications du projet MK-Ultra), il a mis en place une structure où chaque détail, nom, symbole, musique, scénario, couleur est calibré pour impacter l’inconscient collectif.
Le château : un portail symbolique.
Le célèbre château de Disney n’est pas une simple reproduction de conte de fées. En y entrant, l’enfant (et l’adulte régressé à son état d’enfance) pénètre dans une réalité fabriquée, une fréquence artificielle où l’imaginaire est canalisé, orienté et reprogrammé. Tout est mis en œuvre pour que le visiteur ouvre son champ émotionnel, baisse ses défenses mentales, et accepte, sans question, les récits diffusés.
Les princesses et la passivité programmée
Les célèbres princesses Disney incarnent une programmation du féminin visant à :
• Conditionner la femme à attendre “le prince sauveur”,
• Associer la beauté à la valeur personnelle,
• Ancrer la passivité, la souffrance et le sacrifice comme voies de transformation.
Chaque conte encode une morale qui formate la conscience dès l’enfance : attends, obéis, espère, aime malgré tout … et surtout : ne te souviens pas de qui tu es.
Le double programme Disney/Pixar.
Pixar, racheté par Disney, est le prolongement plus “moderne” et émotionnel de cette programmation. Là encore, les récits sont parfaitement calibrés :
• “Vice-Versa” : narration subtile de la dissociation mentale,
• “Toy Story” : allégorie de la dépendance affective et de la peur de l’abandon,
• “Soul” : distortion de la nature de l’âme et de l’incarnation.
Ces films ne sont pas innocents. Ils touchent des couches profondes du subconscient, là où se logent les mémoires d’âme, et agissent comme des verrous.
Le groupe Disney est un conglomérat transdimensionnel qui agit simultanément sur plusieurs plans :
1. Plan économique : un pouvoir financier colossal qui contrôle médias, productions et contenus jeunesse.
2. Plan vibratoire : création d’un champ de fréquences hypnotiques par les musiques, les dessins, les voix, et les ondes sub-audibles présentes dans certains parcs ou films.

3. Plan ésotérique : chaque film, logo ou attraction contient des sigils et des symboles occultes réels, hérités de sociétés secrètes, utilisés pour alimenter une matrice de contrôle.

L’ingénierie de l’enfance
La cible principale ? L’enfant. Car l’enfant est une conscience en pleine ouverture. Son champ vibratoire est encore connecté aux royaumes subtils, à la Source. Disney agit comme une prison de l’imaginaire, offrant des rêves conditionnés, calibrés, falsifiés… pour détourner l’enfant de ses propres visions intérieures.
Chaque fois qu’un enfant se connecte à Mickey, Elsa, Il accepte une magie scénarisée, stérilisée, vendue par le divertissement.
Reprogrammation ou Révélation ?
Rien n’est figé car la matrice Disney peut aussi servir de porte de sortie si elle est vue pour ce qu’elle est. Revoir un film Disney avec des yeux éveillés, c’est en déconstruire les symboles, déverrouiller les codes, comprendre ce qui a été placé en nous sans notre consentement. Et ainsi, reprendre souverainement notre pouvoir narratif intérieur.
Disney n’est pas seulement une entreprise ; c’est un système de contrôle de la conscience par l’émotion et la nostalgie. Tant que l’on y entre sans conscience, on y laisse une part de soi. Mais avec l’œil de l’aigle et le cœur souverain, tu peux observer la matrice, la comprendre, et t’en libérer.
Reprends ton imaginaire, réécris ton film et surtout, redeviens le créateur conscient de ta propre magie.

1. Un monde à l’envers
Nous vivons dans une époque où tout s’accélère.
Le temps, les informations, les exigences.
On doit être partout, tout le temps, et donner le meilleur de soi sans jamais faiblir.
Le travail devient une course, la vie une compétition.
On confond vitesse et réussite, et on s’épuise à suivre un rythme qui n’a plus de sens.
Le plus fou ? C’est que tout le monde trouve ça normal.
Bienvenue chez les fous.
2. Une société malade du “toujours plus”
On valorise ceux qui dorment peu, qui travaillent sans relâche, qui disent “je n’ai pas le temps”.
On félicite la performance, même quand elle détruit la santé mentale.
On se compare sans arrêt, on cherche la reconnaissance extérieure pour combler un vide intérieur.
Et pendant ce temps, les gens s’isolent, se vident, s’éteignent.
Les conversations tournent autour de ce qu’on possède,
jamais de ce qu’on ressent.
On parle beaucoup, on écoute peu.
On s’affiche heureux, mais on ne l’est plus vraiment.
3. La folie ordinaire
La folie, aujourd’hui, c’est de trouver normal de ne plus se reposer.
C’est de passer plus de temps devant un écran qu’avec ceux qu’on aime.
C’est d’accepter le stress permanent comme mode de vie.
La vraie folie, c’est de s’adapter à un système qui rend malade,
et de traiter de “fous” ceux qui veulent juste respirer.
4. Le réveil des lucides
Heureusement, certains refusent ce modèle.
Ils ralentissent, ils décrochent, ils choisissent autrement.
Ils préfèrent la paix intérieure à la performance.
Ils travaillent, mais ne se perdent plus dans leur travail.
Ils se recentrent sur l’essentiel : la santé, les relations vraies, la nature, la simplicité.
Ce sont ces “fous-là” qui redonnent du sens au monde.
Parce qu’ils osent vivre à contre-courant.
Parce qu’ils choisissent de rester humains dans un monde qui court à la déraison.
5. Retrouver l’équilibre
Peut-être qu’il est temps de revoir nos priorités.
De ralentir, de se reconnecter à soi,
de remettre du vrai dans nos vies.
Pas pour fuir la société, mais pour la guérir.
Car au fond, la seule vraie folie,
c’est d’oublier d’être vivant.
Lafée Clochette
Bonjour,
Ce matin je vous partage un beau texte de Don Miguel Ruiz.
Merveilleuse journée.
Mabelle

Aujourd’hui, je m’accepte tel(le) que je suis, sans me juger.
J’accepte mon esprit tel qu’il est, avec toutes mes émotions, tous mes espoirs et mes rêves, ma personnalité, ma façon d’être unique.
J’accepte mon corps tel qu’il est, dans toute sa beauté et sa perfection.
Que l’amour que j’ai envers moi-même soit si fort que jamais plus je ne me rejette, ni ne sabote mon bonheur, ma liberté et mon amour.
Désormais, que chacune de mes actions, de mes réactions, de mes pensées et de mes émotions soit fondée sur l’amour.
J’accrois mon amour pour moi-même, jusqu’à ce que tout le rêve de ma vie soit transformé et que la peur et les drames cèdent la place à l’amour et la joie.
Que la puissance de mon amour pour moi soit assez forte pour briser tous les mensonges qu’on m’a programmé à croire, tous ceux qui m’ont fait croire que je ne suis pas à la hauteur, pas assez fort(e), pas assez intelligent(e), et que je ne m’en sortirai pas.
Que la puissance de mon amour pour moi soit si forte que je n’aie plus besoin de vivre ma vie en accord avec l’opinion d’autrui.
J’ai une confiance totale en ma capacité à effectuer les choix que je dois faire.
Paré de mon amour pour moi, je n’ai plus peur de faire face à quelque responsabilité que ce soit dans ma vie, ni à quelque problème dont je trouve la solution quand il se présente.
Quoi que je veuille accomplir, puissé-je le faire avec la puissance de mon amour pour moi-même.
À partir d’aujourd’hui, je m’aime tellement moi-même que je ne fais plus rien contre moi.
Je peux vivre ma vie en étant moi-même et non en prétendant être quelqu’un d’autre dans le but de plaire à autrui.
Je n’ai plus besoin que les autres disent du bien de moi, car je sais qui je suis.
Grâce à mon amour pour moi, je prends désormais plaisir à l’image que me renvoie le miroir de moi-même.
Qu’un sourire illumine mon visage et qu’il accroisse ma beauté intérieure et extérieure.
Je ressens un tel amour pour moi que ma propre présence m’est toujours un plaisir.
Je m’aime sans jugement car lorsque je me juge, il en résulte des reproches et de la culpabilité puis le besoin de me punir, de sorte que je perds de vue mon amour.
Je fortifie ma volonté de me pardonner en cet instant
.Je nettoie mon esprit de tout poison émotionnel et de tout jugement afin de vivre dans la paix et l’amour.
Que mon amour pour moi-même soit la force qui change le rêve de ma vie !
Armé de ce nouveau pouvoir dans mon cœur, le pouvoir de l’amour de soi, je transforme chacune de mes relations, à commencer par celle que j’ai avec moi-même
.Je me libère de tout conflit avec autrui.
Je suis heureux (se) de passer du temps avec ceux qui me sont chers et je leur pardonne toute injustice encore ressentie en moi.
Je m’aime tellement que je peux pardonner quiconque m’a blessé(e) dans mon existence.
J’ai le courage d’aimer ma famille et mes amis sans conditions et de modifier mes relations de la façon la plus positive et la plus empreinte d’amour.
Je crée de nouveaux canaux de communication dans mes relations, de manière à ce qu’il n’y ait plus de guerre de pouvoir, ni de perdant ou de gagnant.
Je peux travailler en équipe, pour l’amour, pour la joie et pour l’harmonie.
Mes relations avec ma famille et mes amis sont fondées sur le respect et la joie, afin de ne plus ressentir le besoin de leur dire comment penser ou se comporter.
Mes relations romantiques sont les plus merveilleuses.
La joie m’envahit chaque fois que je partage mon amour avec mon partenaire.
J’accepte les autres tels qu’ils sont, sans jugement, car lorsque je les rejette, je me rejette moi-même. Et quand je me rejette, on me rejette.
Aujourd’hui, je prends un nouveau départ. Je recommence ma vie en ce jour avec la puissance de l’amour de soi
.J’apprécie ma vie, j’apprécie mes relations, j’explore la vie, je prends des risques, je suis vivant (e), je ne vis plus dans la crainte de l’amour.
J’ouvre mon cœur à l’amour qui est mon droit de naissance.
Je deviens Maître de la Gratitude, de la Générosité et de L’amour afin de pouvoir jouir de toutes les créations à tout jamais. Ainsi soit-il !