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C’est le moment de récolter les baies noires de sureau !

Bonjour et excellent samedi à vous.

Selon la région où vous vivez et les années plus ou moins chaudes et/ou humides, la période de récolte peut varier un peu de début à août à fin septembre. Chez moi, c’est presque le moment idéal.

Attention il est important avant tout de bien savoir différencier les différents types de sureau car le sureau yèble est toxique. Mais il est très simple de les reconnaître, il ne devrait pas y avoir de confusion possible https://youtu.be/W3trFfw6BTw?si=H5HhCFkZMEzXqCaU

De son nom scientifique, le sambucus nigra est un arbuste médicinal car on utilise toutes ses parties : feuilles, écorces, fleurs et baies, même si je ne m’intéresserai aujourd’hui qu’aux fruits.

Il réputé pour ses bienfaits sur le système ORL. Il possède des propriétés intéressantes à notre santé. La plante est anti-inflammatoire, antihistaminique, anti rhumatismale, diurétique, …

Le sureau est riche en glucides, protéines, graisses mais également en vitamines et huiles essentielles. C’est un anti-inflammatoire et des études montrent que de manière significative le fruit réduit les symptômes de la grippe et sa durée (Balick, 2014).

Sa concentration relativement élevée de polyphénols permet de piéger des radicaux libres et lutte contre le stress oxydatif, c’est un puissant détoxifiant de l’organisme puisque les baies éliminent efficacement les toxines exogènes du corps, c’est-à-dire celles qui pénètrent dans notre corps de l’extérieur comme des métaux lourds, des parasites et des bactéries.

Il est possible de faire des recettes sympas avec le sureau qu’on peut utiliser comme d’autres fruits rouges, en dessert, en gelée, … Attention cependant à le l’utiliser que cuit. Ne consommez JAMAIS de fruits frais ainsi que de jus de sureau, car ils peuvent provoquer la diarrhée, des vomissements sévères, des étourdissements ou des nausées chez certaines personnes. Je me souviens encore des vomissements de mon plus jeune frère qui avait mangé les baies lorsqu’il avait accompagné maman qui était allée récolter du sureau pour faire son sirop pour l’hiver et ainsi soulager sa bronchite chronique. Les baies doivent obligatoirement être cuites pour éliminer complètement le cyanure contenu dans le fruit.

Comment faire du sirop de sureau?

Je vous partage ma recette parce que je sais qu’elle est simple et se conserve bien mais il doit probablement y avoir des variantes facilement trouvables sur le net.

Récolter les canopées avec des fruits, de préférence 2 jours après les pluies. Attention, ça tache !

Ensuite, lavez, triez, et égrainez les fruits (retirez les fruits rouges et verts et gardez uniquement les fruits mûrs bien noirs). Vous aurez besoin de 3 kilos de fruits.

Mettez les baies dans une casserole avec un ½ litre d’eau et faites frémir 5-10 minutes.

Ecrasez les fruits avec un presse-purée et passez les dans un chinois en les pressant bien  pour en extraire tout le jus que vous remettrez dans la casserole.

Ajoutez un bâton de cannelle, une gousse de vanille (fendue dans la longueur) et 5 clous de girofle.

Portez à ébullition. Baissez le feu et laissez cuire à petits bouillons durant 30 minutes, en remuant. Le jus va réduire environ de moitié.

Ajoutez un kilo de sucre de canne, ou mieux de miel (si vous faites le choix du miel laissez d’abord la préparation refroidir un peu et ne mélangez qu’avec une cuillère en bois, pas de métal) et ¼ litre de rhum brun. Le rhum est facultatif. Maman, selon ses finances, n’en mettait pas toujours.

Versez encore chaud dans des bouteilles pasteurisées pendant 15 minutes, en commençant le processus avec de l’eau froide. Fermez la bouteille lorsque le sirop est toujours chaud.

Quelle utilisation ?

Le sirop de baies de sureau est à la fois un produit de cuisine, et un remède naturel.

On peut donc s’en servir pour aromatiser les desserts bien sûr : salade de fruits, cake, muffins, glace, crêpes, … Mais aussi pour parfumer des plats sucrés salés, comme une sauce pour accompagner une volaille.

Côté remède, le sirop de sureau est tout indiqué en cas de rhume, grippe, toux, bronchites, et autres inflammations des voies respiratoires. Cependant, le sirop de baies de sureau peut se prendre de manière préventive, en hiver notamment.

Quelle posologie ?

Il n’y a pas de dosage ou de posologie précise, mais en règle générale, il est conseillé chez un adulte d’en prendre 2 à 3 fois par jour en prévention. Lorsque qu’on est malade (grippe, rhume, etc.) : une prise toutes les 2 heures jusqu’à 6 prises par jour. Maman prenait une cuillère à soupe de sirop toutes les 1 à 2 heures au début de l’infection.

Prenez soin de vous

Mabelle

Vaincre la douleur par l’alimentation

Bonjour, je vous espère en pleine forme. Un petit article, qui ne va pas plaire à tout le monde, sur le rôle de l’alimentation dans de nombreuses maladies. Pourquoi je présume qu’il ne va pas plaire ? Parce que je sais que l’être humain veut que les choses changent mais ne veut lui même rien changer à sa façon de vivre.

La scientifique Jacqueline Lagacé démontre dans son livre que des changements alimentaires permettent de réduire au silence une centaine de maladies.

De quelles maladies s’agit-il ?

Les maladies auto-immunes (de grosses molécules d’origine alimentaire ou bactérienne pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle et déclenchent la fabrication d’anticorps et des réactions immunitaires en cascade. Certains de ces anticorps se retournent contre l’organisme. Ce boomerang immunitaire donne une maladie auto-immune) : maladie de Basedow, maladie coeliaque, maladie de Gougerot-Sjörgen, syndrome de Guillain-Barré, maladie de Horton, narcolepsie, neuropathie périphérique idiopathique, rhumatisme psoriasique, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, thyroïdite d’Hashimoto …

Les maladies d’encrassage (des molécules d’origine alimentaire ou bactérienne de plus petite taille pénètrent indûment dans l’organisme via l’intestin grêle. Trop petites pour déclencher la fabrication d’anticorps, elles s’infiltrent dans les tissus et perturbent la communication entre les cellules, c’est pourquoi on les qualifie de polluants cellulaires. Pendant cette période de pollution, elles vont donner les maladies d’encrassage : Alzheimer, arthrose, cancer, cataracte, céphalée de tension, fibromyalgie, glaucome, goutte, infections à répétition, obésité, Parkinson, schizophrénie, stéatose hépatique non alcoolique, vieillissement prématuré, …

Les maladies d’élimination (les polluants cellulaires vont être pris en charge par des globules blancs « nettoyeurs» qui vont leur livrer un combat impitoyable au cours duquel certains vont mourir. Ces cellules mortes seront évacuées vers les émonctoires comme la peau, l’estomac, le côlon, les voies aériennes supérieures (nez, sinus, poumons). Cette évacuation donne lieu aux maladies d’élimination) : acné, asthme, bronchite chronique, cals, cors et durillons plantaires, colite, conjonctivite, œdème de Quincke, psoriasis, rhinite chronique, rhume des foins, urticaire, …

Qu’est-ce qu’une maladie inflammatoire chronique ?

Quand un microbe s’introduit dans l’organisme on voit apparaître des rougeurs. de l’enflure, de la douleur et parfois même de la fièvre. Tout ça disparaît généralement après un certain temps parce que les leucocytes ont réussi à combattre l’infection. Mais lorsqu’on est confrontés à une maladie inflammatoire chronique –la fibromyalgie, l’arthrite, le diabète de type 2, l’asthme, la maladie de Crohn, … – c’est que notre système immunitaire n’arrive pas à éliminer l’agent irritant. Il continue à lutter contre lui pendant des années. Au départ, il y a une inflammation silencieuse, qui se transforme petit à petit en inflammation chronique. Dans certains cas, comme celui de l’arthrose, ça peut prendre de 10 à 30 ans avant d’avoir conscience de la douleur.

Jacqueline Lagacé souffrait d’arthrose du dos depuis l’âge de 30 ans, puis a commencé à souffrir d’arthrose des genoux, d’arthrite des mains à 62 ans. Au début, elle tentait de contrôler les douleurs avec paracétamol et aspirine, mais ses douleurs se sont amplifiées au fil des mois. Au bout de deux ans, en 2006, ses doigts ne pouvaient quasiment plus plier et son pouce gauche était complètement devenu immobile. Les élancements étaient tellement insupportables qu’ils l’empêchaient de dormir. Lorsqu’elle a eu recours à la médecine traditionnelle, il lui a été prescrit un anti-inflammatoire non stéroïdien qui aurait été à l’origine de dizaines de milliers de crises cardiaques.

Même si elle pensait s’alimenter correctement, elle avait l’intuition que l’origine de ses problèmes articulaires était liée au contenu de son assiette. Ayant compris que la médecine traditionnelle ne pouvait pas l’aider, elle a fait des recherches sur le Net et découvert la méthode du Dr Jean Seignalet, un médecin et chercheur français spécialisé en immunologie, en nutrithérapie et en rhumatologie.

Si ce médecin est décédé en 2003, son site est constamment mis à jour par les membres de sa famille. Elle a commencé à suivre son régime « hypotoxique » le 10 juin 2007 et, en 10 jours à peine, ses élancements avaient complètement disparu. Trois mois plus tard, elle pouvait bouger un peu son pouce gauche et, après 16 mois de régime, les articulations de ses doigts avaient repris progressivement leur fonctionnement normal.

Cette découverte était trop fantastique pour ne pas être partagée, elle a décidé d’écrire un livre sur le sujet. Grâce à son doctorat en virologie et ses études postdoctorales en immunologie et en bactériologie, elle avait la formation requise pour vérifier dans la documentation scientifique récente le bien-fondé des théories du Dr Seignalet.

Le fait de démontrer que les produits laitiers et la plupart des céréales sont impliqués dans le développement de nombreuses maladies inflammatoires chroniques demande du courage, parce que ça va à l’encontre des diktats alimentaires occidentaux.

Quelles sont les bases de ce régime ?

Elles reposent principalement nos enzymes digestives et sur leur capacité de digérer correctement les aliments. Nos ancêtres se nourrissaient des produits de leur chasse et de leur pêche ainsi que de la cueillette de végétaux non cultivés et, lorsque c’était possible, de miel. Nos enzymes digestives ont donc évolué en fonction de ce type d’aliments. La nourriture qui provient de l’agriculture et de l’élevage – une « innovation » qui date seulement de 10 000 ans – ne représente ainsi qu’environ 1% de l’histoire de l’être humain. Nos enzymes seraient mal adaptées à l’alimentation moderne. Conséquence? Chez certaines personnes, l’intestin grêle devient « hyperméable »(c’est-à-dire qu’il permet le passage dans le sang et les tissus de molécules trop grosses, donc nocives, d’origine alimentaire et bactérienne); ce qui, en cas de fragilité génétique, entraîne le développement de maladies inflammatoires chroniques.

Que devrait-on alors bannir de notre alimentation ?

Pour commencer il faut éliminer tous les produits laitiers, de quelque origine animale que ce soit, Le Dr Seignalet assure que le lait de vache est inadapté aux humains, car les quantités astronomiques de protéines et de calcium qu’il contient servent à faire prendre aux veaux100 kg en un an… Notre organisme n’est pas capable de l’assimiler.

On doit aussi bannir un grand nombre de produits céréaliers (à l’exception du riz, du quinoa, du sarrasin, du sésame et du tapioca), que nous ne pouvons digérer correctement et qui causent dans l’intestin grêle un encombrement de grosses molécules, et, peu à peu, une partie des «bonnes» bactéries sont remplacées par des bactéries pathogènes. Ainsi soumise à un phénomène inflammatoire, la très mince paroi de l’intestin grêle finit par se détériorer, laissant ces molécules la traverser et se déposer dans différents tissus.

Il est donc complètement faux de dire que l’usure de nos cartilages est la cause première de l’arthrose, que cette maladie n’est pas de nature inflammatoire et que c’est normal, avec l’âge, d’en souffrir. Le contraire a été démontré par des travaux de recherche récents et sérieux. Il semble désormais évident que c’est l’inflammation de la capsule articulaire (capsule synoviale) – causée, entre autres, par l’accumulation de glycotoxines – qui entraîne peu à peu une dégradation de la qualité du cartilage, qui devient alors sujet à l’usure. En raison d’une alimentation mal adaptée, l’encombrement provoqué dans les intestins occasionne un encrassage des tissus susceptible d’engendrer des réactions inflammatoires de l’enveloppe de l’articulation.

Comment le régime Seignalet agit-il sur les douleurs chroniques ?

En cessant de manger des aliments qui altèrent l’intestin grêle, on donne la chance à ses parois de se reconstituer et de redevenir imperméables aux grosses molécules. Notre système immunitaire pourra ensuite éliminer les toxines accumulées dans nos tissus. Cela dit, il faut souligner que le régime «hypotoxique» ne guérit pas la maladie, il en permet plutôt la rémission tant qu’il est respecté.

La santé est donc un choix qui exige quelques sacrifices. Adieu céréales et produits laitiers, mais bonjour à une capacité normale à se mouvoir. Attention, le régime Seignalet n’est pas le remède miracle à toutes les maladies. Retrouvez la liste des pathologies qui peuvent être améliorées voire réduites au silence par le régime, ainsi que les maladies pour lesquelles le régime ne fonctionne pas dans le livre de Jacqueline Lagacé https://amzn.to/3rYjTy8

Pour éliminer plus rapidement les toxines, retrouver une bonne communication cellulaire, soutenir dans ce processus de retour à une meilleure santé, les molécules de signalisation Redox : http://vd55.com/75k

Ou les patchs quantiques : https://www.bepic.com/anitahougardy

Ne passez aucune commande sans me contacter. Les produits sont livrés sans aune information sur leur utilisation.

Prenez soin de vous

Mabelle

Le massage en pratique

Sur rendez-vous, la personne est accueillie dans une pièce chauffée où une petite anamnèse sur son état de santé lui est demandée.

La personne se débarrasse de ses vêtements tout en conservant ses sous-vêtements (attention, l’huile risque de tacher certaines matières, autant le savoir pour éviter tout risque d’abîmer vos belles tenues!).

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Elle s’installe sur la table de massage où elle est invitée à se détendre et à se mettre à l’écoute de son corps.

Accompagné par une musique douce et les senteurs d’huiles essentielles choisies, le massage harmonisant peut commencer en toute quiétude.

D’une durée d’environ une heure, il apporte la détente physique et mentale et permet de relâcher les tensions et d’installer le calme en soi

 Les bienfaits

 v  Prendre un moment pour soi

v  Meilleure acceptation de son corps

v  Favoriser l’expression des émotions

v  Prendre soin de la peau grâce à l’utilisation des huiles

v  Redynamiser la circulation de l’énergie

v  Stimuler la circulation lymphatique et donc, drainer les toxines

v  Meilleure acceptation de son corps

vApaiser, calmer. Le massage, par les techniques manuelles soulage du stress, oxygène les tissus et ont un effet relaxant

 Les contre-indications

 La maladie grave ou en phase d’évolution est une des contre-indications au massage, avec l’inflammation aigue, la fièvre, les plaies et affections de la peau, les traumatismes divers (contusions, entorse, déchirures musculaires), et varices importantes.

 Massage et sophrologie

 Le massage peut s’inscrire en complément de la sophrologie, car un des buts de ces deux techniques est, entre autre, la globalité de l’être. Le massage tout comme la sophrologie permet une prise de conscience du schéma corporel, améliorant notre propre relation, notre relation à l’autre et à l’environnement, ainsi qu’une plus grande connaissance de nos limites corporelles (particulièrement intéressant chez les enfants débordant d’énergie, ou chez un adulte souhaitant débuter un travail de transformation corporelle).