Archives de catégorie : Coaching de vie

Se choisir

Se choisir, c’est :

• Dire NON parce que je suis fatigué(e) et que j’ai besoin de repos.

• Dire NON parce que cela dépasse mes limites, qu’elles soient physiques ou émotionnelles.

• Dire NON parce que ce n’est pas une urgence.

• Dire NON parce que cela ne correspond plus à ce que je veux.

• Dire NON parce que cela ne respecte pas mes valeurs.

• Dire NON parce que ce type d’activité m’ennuie.

• Dire NON parce que cette personne me prend toute mon énergie.

• Dire NON parce que je ne me sens pas respecté(e) dans mon corps face à certaines actions.

• Dire NON parce que je ne me sens pas valorisé(e) lorsque je suis en présence de cette personne.

• Dire NON parce que je ne ressens aucune joie à faire cela.

• Dire NON tout simplement parce que ce n’est pas ce que je veux.

Chacun a ses propres limites, et celles-ci ne doivent pas être comparées à celles des autres.

Souvent, la peur de perdre, de blesser ou de décevoir nous empêche de nous choisir nous-mêmes. La culpabilité peut également jouer un rôle important dans nos décisions.

Prenez un moment pour réfléchir à ce qui vous empêche de dire NON. Puis, pas à pas, apprenez à vous choisir.

Prenez soin de vous et soyez en paix avec vos choix.

Mabelle

Se reconstruire

C’est un acte de courage, une renaissance après l’effondrement.

C’est accepter que l’on s’est brisé, que des morceaux de nous sont tombés en miettes, et qu’il faudra du temps pour les rassembler, les réassembler d’une manière nouvelle.

Ce n’est pas simplement recoller les morceaux, mais redéfinir qui l’on est, qui l’on veut être, dans un monde qui nous a parfois laissé à terre…

La reconstruction commence souvent dans le silence, lorsque les larmes ont cessé de couler et que l’on se retrouve seul face à soi-même. C’est là que l’on découvre cette force cachée, ce désir de vivre malgré tout, de se relever, de guérir. Les premières étapes sont hésitantes, chaque pas une victoire fragile, mais peu à peu, on retrouve l’équilibre.

Il y a des moments de doute, des rechutes, des nuits où l’on se demande si l’on y arrivera. Mais chaque matin, la lumière revient, et avec elle, l’espoir. On apprend à se pardonner, à accepter les faiblesses, les erreurs, les cicatrices.

On comprend que ces blessures ne sont pas des marques de faiblesse, mais des témoignages de la bataille que l’on a mené pour rester debout…

Se reconstruire, c’est aussi s’entourer de ceux qui nous tendent la main, de ceux qui, par leur amour et leur présence, nous rappellent que l’on vaut la peine d’être sauvé. C’est trouver du réconfort dans les sourires, dans les gestes simples, dans la beauté du quotidien qui, peu à peu, reprend des couleurs…

✨Et un jour, sans même s’en rendre compte, on se redresse, on se sent plus fort…

On n’est plus la même personne qu’avant, mais quelqu’un de nouveau, forgé par les épreuves, riche d’une résilience qui nous surprend nous-même.

On se rend compte que l’on a grandi, que l’on s’est réinventé.

Et c’est ainsi, dans cette nouvelle version de soi, que l’on trouve une paix inattendue, une fierté d’avoir su se reconstruire, contre vents et marées

Dormir dans le même lit ?

Bonjour, j’espère que tu vas bien. Je te partage un article intéressant de Gabriel Tellier.

Tu penses que dormir ensemble est une preuve d’amour ? Attends de voir pourquoi ça détruit plus de couples qu’on ne le pense.

Tu crois que c’est normal de dormir ensemble ? C’est juste une habitude.

Depuis toujours, l’image du couple idéal est associée au fait de partager le même lit. Dans les films, les séries et même dans les contes de fées, on nous montre des amoureux qui dorment paisiblement l’un contre l’autre. Pourtant, la réalité est souvent bien différente.

Combien de fois t’es-tu réveillé(e) fatigué(e) après une nuit agitée à cause de ton partenaire qui bouge, ronfle ou monopolise la couette ? Combien de fois as-tu voulu trouver le sommeil sans succès, dérangé(e) par la respiration ou les horaires décalés de l’autre ? Et pourtant, malgré toutes ces perturbations, on continue de croire que dormir ensemble est une norme incontournable.

Si l’idée paraît romantique, les faits montrent une autre vérité. Dormir ensemble n’est pas forcément synonyme de bien-être et d’harmonie. En réalité, cela peut même avoir des effets négatifs sur le couple, tant sur le plan physique que psychologique. Mais alors, pourquoi persiste-t-on à croire que c’est une obligation ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : dormir ensemble peut ruiner ton sommeil (et ton couple)

Le sommeil, c’est sacré. Pourtant, nombreux sont ceux qui sacrifient leur repos sous prétexte qu’un couple doit dormir ensemble. Mais est-ce vraiment bénéfique ? Regarde ces faits qui parlent d’eux-mêmes :

Une étude de la Fondation Nationale du Sommeil aux États-Unis a révélé que 1 couple sur 3 dort séparément — et ce n’est pas parce qu’ils ne s’aiment plus, mais parce qu’ils veulent dormir en paix.

Environ 50% des gens disent que leur partenaire perturbe leur sommeil (ronflements, mouvements, différence d’horaires, chaleur, etc.).

Un mauvais sommeil augmente le stress, la fatigue, les disputes et réduit la patience — autant dire que ton couple peut vite en prendre un coup.

Selon une étude de l’Université d’Oxford, le manque de sommeil diminue la production d’ocytocine, l’hormone du lien affectif, ce qui peut affecter la connexion émotionnelle dans le couple.

Une autre recherche menée par l’American Academy of Sleep Medicine indique que les couples qui dorment mal ensemble ont 2 fois plus de probabilités de se disputer le lendemain.

Un sommeil de mauvaise qualité favorise aussi la prise de poids et la baisse du désir sexuel. Moins de sommeil, plus de stress, moins de libido. Le cercle vicieux parfait.

Certains couples finissent par dormir ensemble juste pour « faire comme tout le monde » mais se sentent en fait piégés par cette habitude.

On néglige trop souvent l’importance du sommeil dans la stabilité d’une relation. Pourtant, bien dormir est essentiel pour maintenir une bonne communication et préserver la complicité. Un couple qui dort mal ensemble finit par associer le lit à un espace de tension plutôt qu’à un lieu de repos et de bien-être.

Mais alors, pourquoi on s’oblige à dormir ensemble ?

Parce qu’on nous a conditionnés à croire que dormir dans des lits ou des chambres séparées, c’est un signe de problème.

Mais la vérité, c’est que beaucoup de couples heureux font exactement ça. En Allemagne, par exemple, la plupart des couples ont deux couettes séparées pour ne pas se déranger. D’autres adoptent carrément le « sleep divorce », c’est-à-dire dormir dans des chambres différentes pour mieux se retrouver.

Et devine quoi ? Ils sont plus reposés, moins irritables, et ont même une meilleure vie sexuelle. Parce que le désir, c’est aussi l’espace et l’indépendance.

Selon une étude de l’Université de Toronto, les couples qui choisissent de dormir séparément rapportent un taux de satisfaction relationnelle 30% plus élevé que ceux qui persistent à dormir ensemble malgré les troubles du sommeil.

Dormir ensemble par obligation et non par confort revient à forcer une situation qui ne fonctionne pas. L’intimité d’un couple ne se mesure pas à la proximité nocturne, mais bien à la qualité du temps partagé. Ce n’est pas en dormant collés l’un contre l’autre que l’amour se renforce, mais bien en étant en forme et disponible émotionnellement l’un pour l’autre.

Ce que tu peux faire (sans flinguer ton couple)

Si dormir ensemble te convient, tant mieux. Mais si tu galères à bien dormir, il y a des solutions :

Deux couettes séparées pour éviter la guerre des couvertures.

Un matelas adapté à chaque personne pour ne pas sentir l’autre bouger.

Dormir dans des chambres différentes quelques nuits par semaine pour voir si ton sommeil s’améliore.

Tester le « doppelbett » allemand, un lit commun avec deux matelas indépendants.

Utiliser des bouchons d’oreille et un masque de sommeil pour limiter les nuisances.

Accepter que l’intimité ne passe pas par le sommeil : c’est pas parce que vous ne dormez pas ensemble que vous ne pouvez pas passer du temps de qualité.

Il est temps de déconstruire cette croyance selon laquelle un couple doit forcément dormir ensemble. L’amour, ce n’est pas une question de proximité physique nocturne, c’est une connexion qui se vit pleinement, indépendamment du fait de partager un lit ou non.

Dormir séparément, ce n’est pas une preuve d’éloignement, c’est un moyen d’améliorer sa qualité de vie et de renforcer son couple. Et si on arrêtait de culpabiliser ceux qui dorment mieux seuls ?

Et si au lieu de te forcer à dormir à deux, tu écoutais enfin ton corps et tes vrais besoins ? Car au final, ce n’est pas la distance physique qui met un couple en danger, mais bien l’incapacité à se respecter mutuellement et à s’adapter à ce qui fonctionne vraiment.

Alors, toujours sûr(e) que dormir ensemble est la meilleure solution ?

Rappelons nous que c’est durant le sommeil que le corps se régénère, un sommeil de qualité est donc indispensable à une bonne santé. A vous de voir.

Mabelle

Les égrégores s’éteignent lorsqu’ils n’ont plus d’énergie

Bonjour,

Je vous espère en forme. Que se passerait il si tous les citoyens arrêtaient d’écouter les médias et de ne plus donner d’importance à ce qu’ils nous rabâchent à longueur de journée ?

Les égrégores sont les champs collectifs créés par les humains (et les autres formes de vie aussi). Le champ de la maladie, de l’échec, du « à quoi bon », du « qui es-tu pour oser être toi-même ? », de la condescendance (les autres sont tous des cons) mais aussi de la réussite, de la santé parfaite, de l’abondance, de l’excellence…

Dans les enseignements liés à l’alchimie, ces champs étaient présentés comme redoutables, car une fois créés et alimentés fortement en énergie par ses sujets (à travers leurs émotions et leurs sensations), ils deviennent à un moment donné autonomes. C’est le cas des égrégores religieux, qui comportent des milliards de sujets, alimentés depuis des milliers d’années (voir plus). Donc ces champs énergétiques peuvent commencer à agir comme une intelligence artificielle, avoir leurs propres décisions, volonté, prendre le dessus et manipuler leurs sujets s’il le faut.

Pourquoi feraient-ils une chose pareille, direz-vous ? Pourquoi nous manipuler, ne s’agit-il pas tout de suite d’une paranoïa, encore la peur, le danger des choses qui ne se voient même pas ? Attention, là, je me moque d’un égrégore qui vous dit que si vous ne touchez pas à une chose, c’est qu’elle n’est pas réelle (donc pas d’incidence sur vous). Vraiment ?…

Alors, je vous dirai oui et non. Je vous explique comment ça marche, mais je le fais pour que vous vous en sortiez et non pas pour vous tétaniser et alourdir encore l’égrégore de la peur. Bien évidemment, vous prenez que ce qui est intéressant pour vous, ce que vous devriez vous dire d’ailleurs pour toute chose qui se dit dans cet Univers afin de préserver votre liberté de choix.

Les égrégores n’aiment pas « mourir ». Ils s’éteignent d’eux-mêmes s’ils n’ont plus d’énergie. Certains deviennent préoccupés par ce sujet, leur vie, et donc ils vous poussent à les alimenter en énergie, comme des batteries. Même quand vous mangez, vous alimentez un égrégore. Quand vous participez à une cérémonie religieuse. Quand vous courez tous les jours dans le parc. Quand vous vous disputez avec votre copin(e). Ce sont ces rituels (comportements récurrents) qui alimentent les égrégores. Ce sont les croyances figées (qui se disent en boucle) qui créent les émotions. Je suis bon à rien, je suis un idiot, je n’arriverai jamais, et après boum : la détresse, la colère, la tristesse.

Vous avez tellement été habitués à alimenter ces égrégores que vous vous dites que c’est vous, cela ne peut être que vous, quand vous répétez en boucle des idées pareilles, et pour votre ego ce n’est pas très flatteur de se dévoiler, manipulé bêtement par des champs en plus. Comment se battre contre des champs d’énergie, vous me direz ? Pff !

Et pourtant… est-ce vraiment vous, celui qui n’arrivera jamais ? Ou une histoire qui se raconte depuis quelque temps ? Voir longtemps. Mais d’où vient-elle ? Si vous explorez un peu, vous trouverez le parent, l’enseignant, ou vous qui vous êtes dit cela à un âge plus jeune. Vous découvrirez que vous avez validé, voire décidé par vous-même de vous brider ainsi. Certes, vous étiez plus jeune, moins expérimenté. N’empêche que vous pouvez même vous rappeler la scène, l’événement précis, les circonstances exactes quand cela s’est passé.

Et alors ? Eh bien alors, vous savez que vous avez décidé d’une croyance, et vous pouvez décider de son contraire, maintenant. Que votre essence est libre et que c’est trop bridant pour que ce soit satisfaisant comme expérimentation, de ne JAMAIS, JAMAIS y arriver. Et vous commencez à comprendre que vous pouvez vous détacher de ce champ – JE N’ARRIVERAI JAMAIS — que vous avez alimenté pendant des années.

E là, vous allez constater qu’il y a une résistance qui vous empêche de partir librement. Comme si quelqu’un s’opposait, voyez-vous, à vous voir déguerpir.

Si vous avez alimenté depuis longtemps des champs déviés, comme la maltraitance, l’humiliation, la souffrance, la maladie, ces champs peuvent vous manipuler pour y rester quand vous voulez en sortir. Ils vont utiliser leurs « sujets » qui sont à côté de vous, même s’ils ne vous connaissent pas. Oui, des inconnus vont s’acharner pour vous prouver que ce n’est pas la peine de changer. « Mais ils sont fous ?, ils ne me connaissent pas ! », vous direz ? Essayez ! Essayez de dire que vous en avez marre d’être malade, ou d’aller à l’église, ou de prendre des médicaments, et que vous voulez être sain et équilibré.

Quelqu’un vous dira que c’est comme cela la vie, si vous êtes malade, vous resterez malade, si vous êtes sain, le ver ronge la pomme et mangera la pomme, vous deviendrez malade plus tôt ou plus tard, c’est juste une question de temps.

Si vous voulez réussir, quelqu’un viendra vous dire que c’est dangereux, que vous serez vu, que vos amis vous jalouseront et que vous perdrez leur amour. Expérimentez en conscience, et vous commencerez à saisir les champs. Vous pouvez même vous amuser, en sachant ce que je vous ai dit.

Si vous renoncez à la nouvelle voie de libération, les acharnés qui étaient à côté de vous arrêteront tout de suite leur dissuasion. Vous êtes retourné dans la cage, c’est réglé. Ils ne le font pas consciemment, comprenez-moi bien.

C’est vous-mêmes qui répéterez la croyance qui définit l’égrégore, genre « de toute façon, c’est toujours comme ça, ça a toujours été comme ça et c’est fort probable que cela reste comme ça ». Vous voilà, vous vous êtes donné à vous-même le verdict, il ne reste qu’à rentrer dans la cage, piétiner sur toujours la même plate-forme, celle que vous connaissez déjà depuis si longtemps.

Quand vous en prenez conscience et que vous les ressentez, les égrégores n’ont plus tellement de chance de vous manipuler, si vous savez comment vous y prendre, pour vous en libérer…

Prenez soin de vous

Mabelle

Les 5 blessures de l’enfance et leur impact sur le corps

Bonjour, je vous espère en pleine forme.

Je vous partage ce matin un article de America Bicho sur les blessures de l’enfance. Certains vont peut-être se reconnaître dans toutes les blessures parce que nous les avons toutes vécues, mais il y en a toujours une qui est prédominante pour chacun de nous

Les blessures émotionnelles que nous avons subies dans l’enfance se reflètent dans notre posture, notre démarche et notre poids. Les reconnaître est le premier pas vers leur guérison.

1- Blessure d’humiliation.

Comment elle se manifeste ?

Posture voûtée, avec un dos voûté.

Épaules affaissées et tête baissée.

Fesses rentrées.

Cause :

Elle apparaît lorsqu’une personne a été embarrassée, critiquée ou ridiculisée dans son enfance. Elle peut avoir le sentiment de ne pas être à la hauteur ou de mériter d’être punie.

Comment en guérir :

Travailler sur l’estime et l’acceptation de soi.

Pratiquez les affirmations positives et l’autocompassion.

Chercher un soutien thérapeutique pour évacuer la honte refoulée.

Apprendre à fixer des limites et à valoriser sa propre voix.

2- Blessure d’abandon.

Comment elle se manifeste ?

Surpoids sans cause apparente.

Difficulté à perdre du poids même en suivant un régime et en faisant de l’exercice.

Sentiment de vide que l’on tente de combler par la nourriture.

Cause :

Elle est générée lorsqu’une personne s’est sentie émotionnellement ou physiquement abandonnée dans son enfance. Peut provenir de parents absents, indifférents ou émotionnellement froids.

Comment la guérir :

Reconnaître la peur de la solitude et apprendre à apprécier le temps passé seul.

Guérir l’attachement émotionnel et la dépendance affective.

Pratiquer la gratitude et se connecter à soi-même.

Thérapie émotionnelle pour travailler sur le sentiment d’impuissance.

3- Blessure d’injustice.

Comment elle se manifeste ?

Corps raide, ni trop maigre, ni trop gros.

Difficulté à prendre ou à perdre du poids, toujours dans une taille intermédiaire.

Posture corporelle tendue et perfectionnisme dans la démarche.

Cause :

Apparaît chez les personnes qui ont grandi avec des normes très strictes, des exigences élevées ou le sentiment que rien de ce qu’elles font n’est assez bon.

Comment en guérir :

Apprendre à être flexible et à abandonner le besoin de contrôle.

Guérir l’exigence personnelle et se permettre de faire des erreurs.

Pratiquer l’équilibre entre donner et recevoir.

Travailler sur la confiance dans la vie

4 – Blessure de trahison

Comment elle se manifeste ?

Chez l’homme : dos large, fort et musclé.

Chez la femme : hanches et fesses larges et galbées.

Apparence de force, mais peur de la tromperie.

Cause :

Elle se développe lorsqu’une figure de référence (père ou mère) n’a pas tenu ses promesses ou a trahi la confiance de l’enfant. Génère le besoin d’être fort pour éviter d’être blessé.

Comment la guérir :

Apprendre à faire confiance et à lâcher le contrôle.

Guérir la peur d’être blessé dans les relations.

Pratiquer le pardon, sans justifier ce qui s’est passé.

Travailler sur la sécurité personnelle sans avoir besoin d’être fort en permanence.

5- Blessure de rejet.

Comment elle se manifeste ?

Sentiment de vouloir disparaître ou éviter certains endroits.

Insécurité dans les groupes ou les contextes sociaux.

Rejet de soi et des autres sans s’en rendre compte.

Cause :

Elle est générée lorsqu’une personne a senti dès l’enfance qu’elle n’était pas désirée ou acceptée, ce qui la pousse à chercher constamment à s’échapper.

Comment en guérir :

S’accepter complètement et guérir l’estime de soi.

Identifier les pensées autocritiques et les transformer.

Apprendre à recevoir de l’amour et de la reconnaissance sans crainte.

Suivre une thérapie pour travailler sur la peur du rejet et renforcer l’identité.

Ces blessures émotionnelles affectent non seulement l’esprit, mais aussi le corps. Pour les guérir, il ne s’agit pas de changer de posture ou de suivre un régime, mais de travailler sur la racine émotionnelle.

La guérison commence par la connaissance de soi et la décision de changer ce qui nous limite.

Je vous conseille la lecture de deux classiques sur le sujet :

https://amzn.to/41jSW65

https://amzn.to/3F04NyG

Prenez soin de vous

Mabelle

Qui es tu ?

Bonjour, je t’espère en forme

Pour certains, tu seras un mystique

Pour certains, tu seras un fou

Pour certains, tu seras un homme sage

Pour d’autres, tu seras incompris

Tu seras un bon exemple pour certains

Tu seras un danger pour d’autres

Pour certaines personnes, tu peux être un bon ami

Tu te rends compte ?

Tu n’es qu’un reflet de l’état d’esprit des autres.

Artiste • Wojtek Kowalczyk

Soyez donc toujours vous même sans vous soucier de ce que les autres pensent de vous, car il n’y a pas de plus grande grandeur dans toute l’existence que la liberté de vous exprimer tel que vous êtes.

Mabelle

Quand vous vous aimez davantage

Bonjour, je vous espère en forme.

Je vous partage un article de Aska Kolton sur les 7 choses qui se produisent lorsque vous commencez à vous aimer davantage.

«Quand je me suis suffisamment aimé, j’ai commencé à abandonner tout ce qui n’était pas sain. Cela signifiait les gens, les emplois, mes propres croyances et habitudes – tout ce qui me maintenait petit. Mon jugement l’a qualifié de déloyal. Maintenant, je le vois comme un amour de soi », ~ Kim McMillen

1. Vous vous sentez plus responsable de votre vie.

J’ai réalisé que j’avais toujours le choix. Je pouvais faire de mauvais choix par peur, par culpabilité et par honte, ou par des choix autonomes qui correspondaient à qui j’étais et à ce qui me paraissait authentique. Alors, j’ai arrêté d’essayer de plaire aux gens, d’accommoder des hommes indignés de mon attention et de faire des choses qui ne m’apportaient ni plaisir ni satisfaction. Lorsque vous commencez à vous aimer davantage, vous vous rendez compte aussi que vos désirs et vos besoins sont importants et que vous avez le choix de les honorer.

2. Vous fixez des limites plus strictes en matière de rencontres et d’amour.

En répondant à mes besoins, j’ai commencé à me sentir plus confiant et plus sûr de moi. Je suis devenu plus doué en sortant avec quelqu’un. J’ai arrêté de perdre du temps avec les mauvais gars et j’ai commencé à faire des choix romantiques plus autonomes. Le résultat final : j’ai trouvé l’amour de ma vie après avoir lutté pendant des années dans le domaine de l’amour. Lorsque vous renforcez vos limites à partir d’un sentiment d’amour-propre, vous serez également plus autonome et vous arrêterez de choisir à plusieurs reprises des partenaires qui ne sont pas bons pour vous.

3. Vous cesserez de chercher l’approbation.

C’était la chose la plus libératrice. Au fur et à mesure que je m’aimais et me respectais davantage, j’ai arrêté de m’inquiéter de savoir à quel point les autres m’aimaient ou m’approuvaient. J’ai arrêté de faire des choses pour être aimé. Cela m’a permis d’être plus authentique, moins défensif et plus authentique. Lorsque vous avez votre propre approbation et acceptation, vous vous souciez moins de l’opinion des autres à votre sujet et à vivre une vie conforme à vos propres valeurs.

4. Vous devez prendre des décisions plus courageuses et consciencieuses.

J’ai abandonné mon travail épuisant en entreprise par respect pour moi-même. J’ai quitté Londres après quinze ans pour mener une vie plus lente et plus paisible. Je suis de nouveau tombée amoureuse. (Cela demande beaucoup de courage si vous avez été blessé encore et encore !). Je suis tombée enceinte et j’ai accouché naturellement. Je n’avais aucune idée de comment cela s’était produit, car j’avais autrefois annoncé partout que si jamais je tombais enceinte, je serais la première à demander une péridurale. Mais j’ai écouté mon corps et avoir une péridurale ne me semblait pas bien. Je suis devenue maman de mon fils. C’est probablement la chose la plus courageuse que j’ai jamais faite dans ma vie, car j’aime tellement ma liberté. Mais l’amour pour mon fils m’aide à oublier à quel point ma liberté était importante pour moi auparavant. L’amour-propre vous donne le courage de vous débarrasser des choses qui ne vous servent pas et de faire de la place aux choses qui vous permettent de grandir. Lorsque vous vous valorisez vraiment, vous prenez des décisions qui vous honorent plutôt que de vous gagner.

5. Vous commencez à aimer être avec vous-même.

J’ai arrêté de remplir mes journées de réunions, de rendez-vous et de sorties, comme je le faisais dans le passé, juste pour ne pas me sentir seul. J’ai arrêté de m’enfuir dans les bras d’hommes inadaptés. J’ai arrêté de rencontrer des amis juste pour avoir de la compagnie. Au lieu de cela, j’ai commencé à faire plus de choses que j’aime faire : nager, faire du yoga, écrire, regarder des films, méditer. Lorsque j’ai renoué profondément avec moi-même, passer du temps dans ma propre entreprise ne me faisait plus peur. J’ai arrêté d’avoir peur d’être seule. Vous aussi, vous constaterez que lorsque vous deviendrez plus aimant envers vous-même, vous commencerez à être plus à l’aise dans votre belle compagnie.

6. Vous développez une relation plus forte avec vous-même.

En passant plus de temps avec moi-même, j’ai approfondi le lien que j’avais avec moi-même. J’ai arrêté d’avoir désespérément besoin d’une relation amoureuse parce que j’ai commencé à m’amuser davantage seule. Je suis devenu mon propre ami. J’ai commencé à me sentir plus en sécurité en tant que personne en puisant dans mon véritable être intérieur. J’ai commencé à croire davantage en moi. J’ai commencé à me faire davantage confiance. Lorsque vous approfondissez votre connexion avec vous-même grâce à l’amour-propre, vous vous connectez également à un niveau plus profond avec les autres. À mesure que votre relation avec vous-même s’améliore, les autres deviennent également plus forts.

7. Vous cesserez de rechercher le bonheur dans les relations.

M’aimer m’a aidée à réaliser que je n’avais pas besoin d’un homme pour être heureux. Tout l’amour dont j’avais besoin pour être heureux était déjà en moi. J’ai assumé davantage de responsabilités pour mon bonheur personnel et j’ai arrêté de céder mon pouvoir aux hommes. J’ai compris que le bonheur était constamment présent dans ma vie. Ce n’était pas quelque part dans le futur. J’avais juste besoin de changer d’orientation et d’apprendre à apprécier ce que j’avais plutôt que de m’attarder sur ce que je n’avais pas. Lorsque vous commencez à vous aimer davantage et à vous sentir plus heureux, vous aussi vous serez probablement moins désespéré d’avoir une relation amoureuse. Vous réalisez que vous n’avez pas besoin d’un partenaire pour être heureux. Il vous suffit d’être heureux et la bonne personne se présentera à temps.

Alors, comment commencer à s’aimer davantage ? Commencez à vous choisir quotidiennement et à faire ce qui vous convient.

Introduisez une pratique quotidienne cohérente à vérifier avec vous-même- chaque fois que vous devez prendre une décision ou un choix.

D’abord, vous vous demandez : qu’est-ce qui vous aimeriez dans cette situation ?

Une fois que vous avez la réponse, posez-vous ces questions puissantes :

Est-ce que ça me fait du bien/bien ?

Est-ce que ça me servira ?

Est-ce que cela me donne de l’énergie ?

Ces questions vous aideront à vous honorer et à honorer vos besoins et à rester fidèle et aimant envers vous-même.

L’amour-propre transformera votre vie, alors commencez à pratiquer !

Aimez vous et prenez soin de vous – Mabelle

La transmission générationnelle

Bonjour, je vous espère en pleine forme

On parle souvent de transmission de génération en génération jusqu’à ce qu’un membre de la famille décide de changer les choses.

L’héritage familial ce n’est pas seulement la collection de timbres de maman ou l’appartement à la côte, c’est aussi une grosse valise pleine à craquer de secrets bien cachés, de traumatismes, de douleurs, de problèmes relationnels non résolus. Un gros cadeau surprise rarement agréable.

Une grand-mère qui a trompé le grand-père prisonnier de guerre ?

Une mère qui passe sa vie à dire du mal des hommes sans que personne en connaisse la raison ? Qui est visiblement contente lorsque tu as des ennuis ?

Et, toi, tu ne comprends pas souvent les émotions qui vivent dans ton corps et te gâchent la vie ? Tu pleures sans comprendre pourquoi ? Tu paniques devant une silhouette qui t’est pourtant inconnue ?

La douleur familiale c’est comme la télé qui repasse en boucle le film « un jour sans fin ».

Mais, pourquoi est-ce toi qui ressens cette douleur ?

Non, ça n’est pas une punition, il s’agirait plutôt d’une promotion spirituelle, mais une rude épreuve tout de même. Tu ressens que quelque chose « cloche », tu sais au fond de toi que certaines choses « sonnent faux ». C’est à toi que revient la mission d’en finir avec les disputes familiales pour les futures générations. Tu imagines ? Un mariage ou un repas de fête sans cris ?

Mais, pour ne pas continuer à promener cette lourde valise émotionnelle familiale, il faudra bien l’ouvrir, la vider de tout ce qu’elle contient, pleurer peut-être ou te mettre en colère. Ca n’a rien de sympa mais c’est plus efficace que de cacher la valise sous le lit et faire semblant de l’oublier.

Cela ne sera pas facile, tu vas devoir accepter que ta famille et toi vous n’êtes pas dans le monde des bisounours où tout est beau, tout va merveilleusement bien. Tu vas ressentir des émotions difficiles, il sera peut-être compliqué de réaliser que tu répètes toi aussi certains schémas familiaux, il te faudra faire preuve de compréhension, pardonner.

Mais cela peut changer tant de choses dans ta vie et celle des futures générations. Comme par magie les relations seront moins tendues et il y aura aussi moins de tensions dans ton corps (moins de douleurs), tu ressentiras une paix intérieure.

Ok, mais comment faire ?

Même si tu ressens qu’il y a des non-dits dans l’histoire de la famille , des douleurs sur lesquelles il est compliqué de mettre des mots, des rancoeurs, des jalousies, de simples mots qui déclenchent des explosions, des décès ou trahisons qu’ils ont préféré taire à jamais, tu peux difficilement arriver avec une tarte et décréter : on va manger un petit goûter et parler de tous vos secrets. Ca ne fonctionne pas comme ça.

Alors, comment essayer de faire bouger les choses ? Bien souvent il faut faire appel à une aide extérieure, sans aucun lien familial, il y a des thérapeutes pour ça. La thérapie transgénérationnelle est probablement ce qui vous soulagera le plus.

Une lettre dans laquelle exprimer tout votre ressenti, ton mal-être par rapport à certaines situations peut t’aider à te décharger des émotions compliquées. Personnellement je ne conseille pas de donner la/les lettre/s au/x destinataires mais plutôt de les relire de temps en temps jusqu’à ce qu’elle ne provoque plus d’émotions. Est alors venu le moment de brûler la/les lettre/s.

Faire le choix de mettre un terme aux répétitions de génération en génération permettra non seulement de te sentir mieux mais c’est également un merveilleux cadeau que tu fais à tes enfants et aux générations suivantes qui, grâce à toi ne porteront pas le poids de leurs ancêtres.

Prends soin de toi

Mabelle